52 (oui oui s'est le titre xD)

Le cœur battant et les mains tremblantes, Allen tendit sa main gauche (redondance de "main")vers la poignée de porte de la chambre n°456. A l'intérieur il devait retrouver une amie, hospitalisée pour une grave(redondant avec incurable) maladie incurable. En ouvrant la porte, il se retrouva dans une grande pièce éclairée par une lampe de chevet et la faible lueur du soleil couchant (filtrant ?)à travers la fenêtre. Au centre de la pièce se trouvait le lit sur lequel reposait son amie Émilie, endormie et raccordée à la machine qui la maintenait en vie par des techniques qui le dépassaient totalement. Près du lit, Allen, aperçut une femme assise dans le fauteuil destiné aux visites, ainsi qu'un homme d'une trentaine d'années portant les vêtements d'un médecin, Allen eut l'impression d'avoir coupé(interrompu) une conversation importante...

-Bonsoir jeune homme, dit la femme avec un ton hautain et un sourire plein de mépris, une femme bien étrange pensait (selon) le jeune garçon. -
-Bon.. bonsoir madame, lui répondit-il en bafouillant légèrement. Allen s'approcha du lit, et prit la main d'Émilie, il ne faisait déjà plus attention à madame Witt et au Dr. Grant, cela devait en effet être très difficile pour un enfant de douze ans de voir une amie sur un lit d'hôpital, mourante.
- Il serait sage que nous continuions notre discussion en privé madame Witt, dit le docteur. elle ne mit pas très longtemps à se lever (se leva rapidement et quitta) et quitter la chambre en compagnie du médecin en laissant Allen seul avec Émilie, celui-ci avait(donnant à celui-ci) l'occasion de parler avec elle. Il fit le tour du lit et alla fermer les rideaux avant de rapprocher le fauteuil où s'était précédemment assise madame Witt, il était maintenant assis à la gauche d'Émilie, elle dormait toujours, pour lui elle était belle, du haut de ses douze ans il ne comprenait peut être pas grand chose mais il savait en tout cas que cette fille lui plaisait, ils avaient passé six ans ensemble dans la même école primaire.
-Il est assez rare de trouver un garçon amoureux si jeune, prononça une voix tapie dans un coin sombre de la pièce.Surpris Allen se leva pensant qu'une tierce personne était entrée, mais il ne vit rien d'autre qu'une lueur rouge dans l'entrebâillement de la porte, totalement plongé dans l'obscurité, toutefois une légère forme humaine commençait à apparaître progressivement et il se rendit vite compte que la lueur qu'il avait vu précédemment n'était autre qu'un œil !

-Qui... Qui êtes vous ?? Lança- t-il paniqué, il sentit alors la main d'Émilie lui saisir le poignet, elle le regardait avec ses yeux tristes.
N'aie pas peur, lui chuchota t-elle. Cette femme mystérieuse avait un œil rouge comme le sang, elle était sortie de la pénombre, il était sûr qu'elle n'était pas là tout à l'heure. Il se risqua alors à ouvrir la bouche mais comme si elle avait déjà compris ce qu'il comptait demander elle prononça avant lui la question qui lui brûlait les lèvres: Qu'est -ce que vous êtes ?

Le cœur battant et les mains tremblantes, Allen tendit sa main gauche vers la poignée de porte de la chambre n°456, le stress monté et les sueurs qui lui perlait au visage, le démontrait. A l'intérieur devait se trouver une amie, hospitalisée pour une grave maladie incurable (le faite de savoir qu'elle est incurable gâche le suspense sur le moment). En ouvrant la porte, Allen se retrouva dans une grande pièce éclairée par une lampe de chevet et la faible lueur du soleil couchant à travers la fenêtre. Au milieu de la pièce se trouvait le lit sur lequel reposait son amie Émilie, endormie et raccordée à la machine qui la maintenait en vie par des techniques qui (j'aime pas le mot qui, ca allourdie la phrase) le dépassaient totalement. Près du lit, Allen, aperçut une femme assise dans le fauteuil destiné aux visiteurs, un homme d'une trentaine d'années portant les vêtements d'un médecin se tenait a proximité, le jeune garçon eut l'impression d'avoir interrompu une conversation importante...

-Bonsoir jeune homme, dit la femme avec un ton hautain et un sourire plein de mépris, une femme bien étrange d'après la réaction du jeune garçon. -
-Bon.. bonsoir madame, lui répondit-il en bafouillant (pas la peine de dire que c'est un léger baffouillement, on sait qu'il bafouille...). Allen s'approcha du lit, et prit la main d'Émilie, il ne faisait déjà plus attention à madame Witt et au Dr. Grant, cela devait en effet être très difficile pour un enfant de douze ans de voir une amie sur un lit d'hôpital, mourante.
- Il serait sage que nous continuions notre discussion en privé madame Witt, dit le docteur. elle se leva rapidement et quitta la chambre en compagnie du médecin en laissant Allen seul avec Émilie, donnant à celui-ci l'occasion de parler avec elle. Il fit le tour du lit et alla fermer les rideaux avant de rapprocher le fauteuil où s'était précédemment assise madame Witt, il était maintenant assis à la gauche d'Émilie, elle dormait toujours, pour lui elle était belle, du haut de ses douze ans il ne comprenait peut être pas grand chose mais il savait en tout cas que cette fille lui plaisait, ils avaient passé six ans ensemble dans la même école primaire.
-Il est assez rare de trouver un garçon amoureux si jeune, prononça une voix tapie dans un coin sombre de la pièce. Surpris Allen se leva pensant qu'une tierce personne était entrée, mais il ne vit rien d'autre qu'une lueur rouge dans l'entrebâillement de la porte, totalement plongé dans l'obscurité, toutefois une légère forme humaine commençait à apparaître progressivement et il se rendit vite compte que la lueur qu'il avait vu précédemment n'était autre qu'un œil !

-Qui... Qui êtes vous ?? Lança- t-il paniqué, il sentit alors la main d'Émilie lui saisir le poignet, elle le regardait avec ses yeux tristes.
N'aie pas peur, lui chuchota t-elle. Cette femme mystérieuse avait un œil rouge comme le sang, elle était sortie de la pénombre, il était sûr qu'elle n'était pas là tout à l'heure. Il se risqua alors à ouvrir la bouche mais comme si elle avait déjà compris ce qu'il comptait demander elle prononça avant lui la question qui lui brûlait les lèvres: Qu'est-ce que vous êtes ?